mercredi 19 août 2009

La fièvre du Superloto italien continue...et attire de nombreux Européens


Aucun joueur n'a remporté hier soir le SuperEnalotto qui met en jeu une cagnotte de près de 140 millions d'euros. Un gain exceptionnel. Ce gros lot qui ne cesse de gonfler enflamme les esprits transalpins. Pas un gagnant des six numéros n'a été enregistré depuis Janvier malgré trois tirages par semaine!

Parfois le montage se veut complexe. En Sicile par exemple, 2000 joueurs s'étaient organisés pour miser lundi plus de 80 000 euros. Sans succès.

La folie a peu à peu gagné les touristes et les étrangers dont plusieurs centaines de Français.

Le quotidien allemand Bild a même offert à 110 lecteurs un aller-retour dans le centre de l'Italie pour "remplir" un billet.

A la grande joie des kiosquiers puisque ceux ci touchent 3 % du butin de leur clients. Soit 4 à 5 millions d'euros.

En France, le plus gros jackpot jamais proposé était de 183 millions à l'Euro Millions en 2006. Petit rappel: en mai 2009, une Espagnole de 25 ans a empoché 126 millions. :)

Allez tous en Italie. D'ailleurs si vous gagnez, que feriez vous de votre pactole?

1 commentaire:

  1. C'est une vraie folie cette histoire ! Jusqu'où iront-ils ?

    Je ne joue pas au loto, les seuls jeux de hasard auxquels je participent sont les "grat'grat" comme on dit, et ça m'a parfois bien réussi, mais globalement je ne suis pas partisante du fait de miser un argent pour lequel on est quasiment sûr de ne pas avoir de "retour sur investissement".

    Si toutefois il m'arrivait de gagner une telle somme, je pense que mon premier reflexe serait de placer une bonne partie de l'argent, histoire de vivre sur les intérêts pendant...un bon moment ^^

    Ensuite pour ce que je n'aurais pas investit / placer, je pense que je ferais beaucoup de voyages dans des endroits un peu "atypiques". J'en ferais également profiter les gens qui me sont chers. Enfin, je ne donnerais pas à une organisation caritative mais je préfèrerais me rendre directement là où le besoin se fait sentir et voir moi-même ce que je peux leur apporter (en lien avec une association, évidemment, pour faciliter les démarches).

    Parcontre, je ne pense pas que j'arrêterais de travailler : malgré tout le travail est un moyen de s'épanouir, mais je limiterais les heures de boulots ;)


    Et toi, dis nous tout, tu en ferais quoi ?

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