jeudi 26 novembre 2009

Les cours à l'EPSCI

Aujourd'hui il y près de 3 mois que je suis rentré en bachelor ESSEC (EPSCI). L'occasion de faire le point sur les matières du programme.



Economie Managériale: qui a dit qu'on ne faisait plus de maths en école de commerce? La gestion comporte tout un tas de théories (Pareto, Nash...) qui font intervenir des graphiques. Les thèmes abordées: la notion de coût marginal, l'analyse des structures de marché, la concurrence. Par ailleurs chaque semaine, le prof nous donne un article du Wall Street Journal à analyser afin de mettre en pratique nos connaissances.

Mathématiques financières: disons le tout de suite, l'EPSCI ne met clairement pas l'accent sur la finance. Ainsi vous apprendrez les bases en 1 ère année: intérêt simple, composé, escompte, renouvellement d'effets, actualisation/capitalisation, annuités, emprunts indivis, à amortissent constant... A notez que le prof est un ex-trader et accessoirement méditerranéen. Ainsi vous saurez tout de sa vie, ses passions, son salaire... Instructif au final.

Droit Commercial: Malgré son air d'éternel adolescent le prof est bien compétent: 2 maîtrises, un DEA, un doctorat et le diplôme d'avocat (CAPA)... De la théorie évidemment mais beaucoup de séances de TD pour acquérir une véritable réflexion dans cette matière ou l'on a tort de se fier au "par cœur"On passe en revue le vocabulaire juridique de base avec l'explication en détail de chaque terme: qu'est ce qu'un amendement, une obligation, un litige, quelles courts de justice pour quel actions...

Comptabilité: La matière peut à priori passer pour facile car logique. Vous saurez tout des compte de résultat, bilan, créance, bulletin de paie, factures, TVA, classe 5 (banque) and cie. Un épais book pour de nombreux TD. Une matière pas si inintéressante qu'elle en n'a l'air.

Informatique: ah l'informatique... On pense que c'est du gâteau car nous sommes la génération internet. Pourtant maîtriser Excel (et ses matrices) n'est pas une mince affaire avec toute sa panoplie de codes et fonctions (VLOOKUP, information, SI...). Après les tableurs, place aux Powerpoint, Word et base de données Accès. Assez répétitif et vite chiant, surtout quand vous en faites 3h jusqu'à 20h ^^. Indispensable cependant pour tout étudiant en business school qui se respecte.

Commerce International: avant de parler de la matière en question, parlons du prof: Pierre Bournat. Ce quinquagénaire est un Indiana Jones des temps modernes: il a tout fait, tout vu. Il a fait du droit (formation de juriste), de l'export en entreprise dans des secteurs très variés: des montures de lunettes aux machine outils très complexes. Il était même présent lors du tremblement de terre de Kobé en 95. Je n'ai pour l'instant seulement 2 cours à mon actif mais globalement le cours s'articule de la façon suivante: 1/4 de théories et explications de termes (incoterms, barrières douanières...) et le reste composé d'exemple de la vie (très remplie) de Mr Bournat.

Anglais (communication): Ici on apprend du vocabulaire spécialisé (dans le 1er chapitre, tout ce qui touche aux marques par exemple) et surtout à rédiger de façon formelle mails et lettres. Pas mal d'exposés en groupe sur un thème relatif aux chapitre (dernièrement un sur la saga Lego pour les marques). L'oral est évidemment très important et représente une part non négligeable de la note finale.

Anglais (Business): Un peu plus complexe à mon goût que l'autre partie. De l'oral aussi avec des débats, des présentations powerpoint sur un sujet donné (illicit trade sur la production et vente cannabis dans le monde). Une fois par semaine, environ une vingtaine de questions sur un article long (4 pages) spécialisé. La compréhension n'est pas en reste puisque à chaque, nous prenons une dizaine de minutes pour regarder une interview, ou reportage pour ensuite répondre à des questions (pourquoi l'accent américain, surtout le texan est incompréhensible? :p). Dernière chose: un projet compte pour 20% de la note finale du semestre. Ce semestre, nous devons en l'occurrence créer un parfum, son packaging avec une pub vidéo et papier, une stratégie de positionnement...

Espagnol (communication): le book du semestre 1 s'appelant "Visto en la tele", nous avons pu étudier le vocabulaire de ce média, comment est il perçu dans certains pays (au Perou et Mexique par exemple), le type de plans et d'angles de vue, les différents catégories de pellicules: documentaire, télé-realité, films... Avec beaucoup d'oral. Nous devions aussi créer une émission de télé en 5 min (nous avons dans mon cas mis en scène la roue de la fortune version espagnole).

Espagnol (business): après avoir terminé un book, nous commençons le 2ème sur le thème du Web (Red en espagnol). Comme précédemment, vocabulaire, exos pratiques sont à l'honneur. Avec également un projet de fin de semestre qui consiste à créer un page web et un powerpoint afin de commenter le fond et la forme du site. Une partie orale est bien entendue obligatoire.

Enfin, à la différence de certaines écoles, pratiquer un sport et participer à la vie associative (83 assoces pourtant) n'est pas obligatoire. Par rapport à mes activités, je suis comme je vous l'ai dit chez Polo Marco. J'ai d'autres projets en cours dont je vous parlerais plus tard: ESSEC Vegas, As de Cœur. Mais aussi un partenariat EssecLive très prometteur pour le blog, enfin je l'espère.


Bon comme je sens que vous êtes frustré de ne pas savoir à quoi ressemble les soirées ESSEC, je ferais d'ici quelques heures une mise à jour pour vous montrer en exclu un extrait vidéo de cette année d'un des événement majeur de l'ESSEC: La Nuit La Plus Chaude...

dimanche 22 novembre 2009

Rapt: un film saisissant avec un Yvan Attal plus époustouflant que jamais


Petite séance ciné pour aller voir "Rapt" le dernier film avec Yvan Attal dans le rôle principal.
Le film narre l'histoire d'un capitaine d'industrie française et son enlèvement. On pourrait se dire que l'histoire n'est pas bien originale. Et on aurait raison.
Car le fil conducteur ne réside pas dans une énième affaire de ce genre. Mais bel et bien sur la chute poignante d'un homme de pouvoir.

Un thriller politico-économique très bien ficelé. Outre un excellent scénario, les dialogues sont justes et vifs, l'interprétation hors pair douée d'une mise en scène impeccable. Enfin j'en profite pour saluer la performance d'Attal en un mot: MAGISTRALE.

Que dire de plus ? Allez-y !

Ma note: 15/20. Une petite remarque: le film est plutôt adapté au petit écran.

Parce que même l'élite de la France donne des cours


Cet étudiant sera sans doute le futur PDG de Total, Air France ou Danone. Et s'il fait Sciences Po ou l'ENA (une simple formalité vous en conviendrez), il sera au pire conseiller présidentiel, au mieux ministre de l'Économie. Prenez des cours avec lui car même à 60 euros de l'heure il est accessible. En effet dans quelques années, vous devrez payer au moins 50 000 euros voire 200 000 euros pour assister à l'une de ses conférences en tant que gourou du management. Profitez en... :p

jeudi 19 novembre 2009

L'imaginarium du Docteur Panassus: critique cinéma


Je n'avais pas d'idée préalable avant d'aller voir le film. Une amie avait adoré (hein Maëlle^^), d'autres beaucoup moins enthousiastes.
Premier élément à signaler: Terry Gilliam et son univers visuel reste unique et indémodable.: entre le clochard arty, le miroir de l'aventure et le Diable revisité (impeccable prestation de Tom Waits dans ce rôle d'ailleurs).

On entre dans son film comme on pénètre dans un conte où l'imagination est sans bornes La plus belle idée du film est d'ailleurs celle-ci : tant qu'il y aura des conteurs de rêve, l'univers sera protégé du Mal.

Pourtant je n'ai pas été totalement transporté, cela est surement dû au fait que l'émotion est quasi nulle dans le film. Bon étant bon public, je note quand même le pur moment de plaisir de la scène ou Heath Ledger, pendu sous un pont est sauvé de la mort (je rappelle que l'acteur est décède, n'ayant ou terminé le film, voila pourquoi 3 stars internationales prennent la relève). Ainsi que les remarquables jeux d'acteurs de Jude Law, Colin Farrell et Johnny Depp.

Dommage, il aurait fallu un soupçon d'émoi pour en faire un grand film. Un bon moment malgré tout. Ma note: 12/20.

New York Autism City

Incroyable mais vrai: après avoir survolé New York en hélicoptère pendant à peine 20 min, Stephen Witlshire un autiste américain a dessiné de mémoire la ville. Ainsi il a deja fait ça pour Rome, Hong Kong, Frankfurt, Madrid, Dubai, Jerusalem, Londres, toujours de la même façon. Si vous restez septique, voici quelques images qui risquent de changer votre vision du caricatural Rayman.






mardi 17 novembre 2009

Je suis un crack en économie



Ce n'est pas moi qui le dit c'est le test Codice lancé par le Conseil pour la diffusion de la culture économique (CODICE, oui il ne se sont pas foulés ^^). Vous pouvez vous aussi le passez sur le site http://www.kezeco.fr/Passez-votre-Test-Codice. D'après un récent sondage de TNS Sofres, la moyenne obtenue par les Français au quizz est de 9,5/20. Loin derrière la plupart des pays européens. Sinon concernant l'origine de ce test, il comporte 27 questions et à été crée par la fine fleur du patronat français (Nicolas de Tavernost, patron de M6, Michel Perebeau, PDG de BNP Paribas, Maurice Levy...). A ma connaissance personne n'a atteint 20. Au fait dernière chose: si vous avez 17, vous pouvez vous félicitez d'avoir le même score qu'un grand patron d'une agence de pub mondiale, Nicolas Bordas.

PS: oui je sais j'adore flatter mon ego :p
PPS: bon ok j'arrête... :D

vendredi 13 novembre 2009

Quand les Indiens deviennent fous...

En fait dans certaines régions indiennes, on jette les nouveaux sur un grand rectangle de tissu nés à 10 m du sol afin de purifier l'âme et la santé des enfants. D'ailleurs Michael Jackson voulait purifier celle de son fils à Berlin à l'hôtel Adlon...

Une femme se fait défigurer par un singe

Une américaine de 55 ans, Carla Nash se fait défiguré le visage par le singe de son amie qui pète un plomb se rue sur Charla et l'attaque au visage et sur d'autres parties du corps. La victime accepte de venir sur le plateau du Oprah Winfrey Show.
Qu'il doit être dur de porter un voile à tout moment pour éviter de choquer gens.

jeudi 12 novembre 2009

Quelques chiffres sur l'Inde


En me baladant sur le blog Indomaniaque, je tombe sur ces statistiques assez époustouflantes:

  • Sur les 6,5 milliards de personnes que comptent notre planète, 1 personne sur 6 est indienne
  • On compte environ 18 millions de naissances en Inde chaque année soit l'équivalent de la population totale en Australie
  • En 2050, on estime que la population indienne dépassera son homologue chinoise avec 1,5 milliard d'habitants
  • 15 % des filles vivant à la campagne sont mariées avant d'avoir 13 ans. L'âge légal du mariage est fixé à 18 ans. Cherchez l'erreur...
  • 3 % seulement des Indiens parlent anglais couramment (soit quand même 30 millions de personnes réparties essentiellement dans les grandes villes)
  • 60 000 journaux et magazines sont édités en Inde
  • En théorie, l'école (gratuite) est obligatoire jusqu'à 14 ans. Dans les faits 1 enfant sur 3 n'y va pas.
  • L'analphabétisme concerne 25 % des adultes et 45% des femmes.
  • En 2040, l'Inde deviendra la 3ème puissance économique mondiale
  • 400 millions de personnes vivent avec moins d'un euro par jour (au moins ils peuvent s'abonner chez Free. Les Indiens ils ont tous compris)
  • 70 millions de foyers reçoivent la télévision par câble ou par satellite
  • L'Inde recycle 60 % du plastique qu'elle utilise
  • Le pays abritent 1 millions d'élus et de professionnels de la politique et 1,6 millions d'employés de chemins de fer
  • Pendant les études supérieures, 2 étudiants indiens sur 3 partent étudier à l'étranger
  • L'Inde possède 1000 écoles d'ingénieurs et 1000 universités qui donnent accès à un diplôme d"informaticien
  • L'agriculture représente toujours 60 % de la main d'oeuvre. Les services (notamment l'informatique) représente désormais 25 % des emplois
  • On compte 933 femmes pour 1000 hommes. Ansi 40 millions d'Indiens ne trouveront donc jamais l'âme sœur.
  • La diaspora compte 25 millions d'Indiens vivent hors du pays dont plus de 2 millions aux Etats Unis avec un revenu deux fois supérieur à la moyenne américaine (qui a dit que cuisiner du curry ne payait pas?)
Enfin dernière nouvelle: il est toujours interdit de s'embrasser en public, dans les rues comme à l'écran.

On l'a compris, l'Inde va devenir un géant. En revanche ils ont encore du pain sur la planche pour la gestion de leur trafic routier, en témoigne cette vidéo:


Les Dabawallah, porteurs de gamelles à Bombay

Away we go: la critique



Séance de 18h30 aujourd'hui"hui pour aller voir un film qui m'intriguait depuis quelques jours, Away we go.
Un film intimiste ou Sam Mendes, le réalisateur de "Les Noces Rebelles" expérimente l'histoire d'un couple tendre et soudé (c'est le moins que l'on puisse dire) à la quête de l'idéal
. A travers ce road-movie, Mendes évoque les thèmes de l'american dream , l'adolescence éternelle et le ravage des utopies. J'aime l'errance du couple entre Miami, Phoenix et Montréal, le jeu d'acteur de John Kurasinski (connu grâce à The Office) et la beauté intérieure de sa compagne. Le film est parfois drôle, souvent déroutant. On se sent proche des 2 comédiens car ici pas d'effets à outrance, juste ce quasi banal qui devient si agréable.

J'en ressort avec un surplus d'optimisme. Très bonne musiques folk/indé. Ma note 14/20

mercredi 11 novembre 2009

Mes critiques cinéma

Cinéphile convaincu, je vous propose mon avis sur les 3 derniers films que j'ai vu:

  • The Box: une affiche et une bande annonce qui donnaient envie avec une histoire originale. Un casting sympathique (Cameroun Diaz, Frank Langella). Pourtant je reste déçu. La première demi heure est convaincante avec la mise en place de l'intrigue et un décor années 70 très réussi. Seulement le scénario d'un coup devient à mon sens incohérent et trop décalé. A vouloir faire du mystère, le réalisateur rend The Box incompréhensible. Pourquoi aller si loin dans les explications tordues? Outre cela, il a dans ce film trop de références cinématographiques, trop de clins d'œil qui noient le spectateur. Ce film n'est clairement pas pour le grand public. C'était la première fois en 18 ans de salles obscures que les gens se levaient avant la fin du dénouement (mais un ami me dit que c'est typiquement parisien).
Je suis donc sévère avec ce film dont j'attendais beaucoup. Ma note: 8/20

  • 2012: challenge difficile pour Roland Emmerich le maitre du cinéma dramatique après le Jour d'Après. Et force est de constater que son pari est remporté haut la main. Grosse campagne de pub pour 2012, qui pour une fois est largement méritée. Un bon gros blockbuster holywoodien qui propose avec brio toutes les recettes de ce type de film: des effets spéciaux à couper le souffle (qu'il va être dur de faire mieux sur ce créneau, d'ailleurs je me demande quelle est la prochaine étape après ce bijou graphique), des émotions savamment dosées (des touches tristes et une pointe d'humour). Je regrette quand même les clichés de certains éléments (la référence à l'Afrique quant au nouveau sommet mondial ou les relations amoureuses des 2 protagonistes). Enfin je précise que j'ai vu le film dans des conditions optimales: séance de 9h30 au UGC Ciné Cité les Halles avec un monde fou, un écran XXL ++ et un son merveilleux.
Les cinémas n'ont pas de souci à se faire pour les entrées, 2012 va tout casser. Ma note: 16/20

  • Saw 6: que de pression pour l'avant dernier opus de la saga. Après la mort du cultissime Jigsaw, le policier-traitre prend la relève. Saw 6 utilise toujours les même ingrédients phare de la série: du gore avec les tortures, beaucoup de psychologie. Avec cependant plus d'explications sur ce "jeu". Le film est convaincant sans pour autant être passionnant. Je n'ai pas vu passé le temps et je suis très vite rentré dans le film, surtout avec les scènes d'introduction. De toute façon, Saw 6 pouvait difficilement faire pire que le 2 derniers.
Au final, le meilleur Saw depuis le 2 (le 1er du nom était définitivement hors catégories). Ma note: 13/20.

Enjoy ;)

Lecteurs: aidez moi!!!!

Salut à tous.

Je profite de ce post pour lancer un appel à contribution :D.
Je suis au sein de l'assoce ESSEC Polo Marco chargé de l'organisation d'une conférence mi février-début mars (pas de date précise pour le moment) avec pour thème: le tour du monde. Auriez vous des noms de personnes à me communiquer ( que vous connaissez ou pas) qui auraient fait un voyage atypique (tour du monde, voyage en vélo, à pied...)?

C'est très important donc j'espère que vous pourrez m'aider dans cette tâche.

Merci d'avance à tout le monde et bonne soirée

Parce que même un code-barres peut être stylé

Petit clin d'œil à la marque japonaise d-barcodes qui est à l'origine de code barres originaux et décalés. Futile certes mais une touche de créativité ne fait jamais de mal...


mardi 10 novembre 2009

En route pour l'Inde



Je suis un passionné. Un boulimique de cultures étrangères. Et en ce moment l'Inde m'attire. Ce pays est fascinant. D'une part pour sa cuisine (enfin de vrais desserts en Asie!) et le mode de vie de ses habitants. Car ce n'est pas l'Inde qui change, c'est l'Indien. Alors plutôt que de parler des sempiternels Taj-Mahal et autres lieux trop plein de touristes, je vous invite à découvrir les rues de Bangalore (ville motrice de l'économie du pays ) et de New Dehli (capitale fédérale) à travers ses métiers de rue, échoppes et vendeurs ambulants.

Et pour les curieux qui voudraient en savoir plus sur le train en Inde (le plus grand réseau ferré du monde), cliquez sur le lien suivant: train Inde

lundi 9 novembre 2009

Book Season

A l'approche de l'hiver, j'achète chaque année quantité de livres qui combleront mes nuits blanches.
Lire à cette époque est un remède: cela panse la tristesse du paysage grâce à l'invitation à l'évasion, à l'imaginaire. Sélection de mes 3 coup de cœur du moment:

  • Woody Allen, une série limitée aux éditions Points. Michel Lebrun, traducteur et également auteur de la préface du livre nous dévoile les plus beaux papier et nouvelles du septuagénaire juif new-yorkais. Toujours autant accro à son humour absurde (" l'argent est préférable à la pauvreté, ne serait-ce que pour des raisons financières"). Environ 10 euros.
  • Atlas mondial des cuisines et gastronomies: Les éditions Autrement éditent sans cesse des livres magnifiques. Celui ci ne fait pas exception à la règle. Pour tout savoir sur la géographie gourmande, les rites à table du Moyen Âge à aujourd'hui"hui , les plats typiques, boissons, saveurs/épices et les traditions culinaires du monde entier. Un must. Seul hic, son prix 17 euros pour 80 pages.
  • Sur la route de Kerouac. Un classique qui raconte les aventures d'un étudiant fauché à travers les États Unis. J'aime l'ambiance jazz, la description des paysages de l'Amérique profonde et les rencontres farfelues du narrateur. 436 pages de pur bonheur pour moins de 8 euros en poche.

dimanche 8 novembre 2009

Le 100 ème !



Eh oui ce blog fête ses ses 110 jours mais surtout le 100 ème article rédigé.
L'occasion de revenir sur le succès (non je déconne :p) de ce blog

D'abord pourquoi zegigikofee? Parce que c'est mon pseudo depuis quelques années tout simplement. Et aussi parce personne le l'utilisait quand je l'ai crée (0 résultats dans Google contre 2140 aujourd'hui)

Quelques chiffres à propos du blog:

  • 100: le nombre d'articles évidemment!
  • 11 015: le nombres de pages vues sur le blog depuis le 23 Juillet 2009
  • 7 098: le nombre de visites
  • 5000 visiteurs uniques
  • 4999: le nombre d'internautes que je remercie (bah oui je vais pas m'auto-remercier^^)
  • 40 : le nombre de commentaire soit un ratio de 1 commentaire pour 2,5 article
  • 1 min 53: le temps moyen de connexion sur le blog
  • 74: le nombres de pays différents auxquels appartiennent les internautes visiteurs (bon d'accord 1 visiteur du Vatican ou du Ghana ayant passé 4 s sur le site ça compte pas vraiment)
  • 364: le nombres de villes françaises d'ou sont originaires mes lecteurs (top 5: Paris, Marseille, Argenteuil, Rouen, Lyon)
  • 88 : le nombres de sources qui amenent à ce blog parmi lesquelles Google et Scoopeo et le Post, les plus importantes
  • 543: le nombres de mots clés différents tapés dans Google et autres pour arriver ici (top 5: chroniques d'un étudiant en école de commerce, chroniques commerce, epsci, facebook chiffres, essec bba)
  • 1: la page la plus visité après l'accueil: les 30 pires façons de rompre
  • Ci dessous, vous pouvez apercevoir les principaux navigateurs internet(1er: Firefox, 2ème: Internet Explorer, 3ème: Safari (vive Apple!)
Merci à tous pour votre fidélité!!!!!!!!!!

Rendez vous le 23 Juillet 2010 pour les 1 an du blog :D

PS: lâchez vos commentaires pour donner votre avis sur cet article, ce blog ou juste passer un coup de gueule. Faut au moins 10 commentaires pour ce post très spécial hein :p



jeudi 5 novembre 2009

Comment les Etats Unis voient le monde


C'est simpliste, caricatural à souhait mais si vrai :p

mercredi 4 novembre 2009

Brèves de vacances

Salut à tous, petite semaine de vacances dans ma ville, à Marseille :D.
L'occasion de revoir ma (grande) grande et ma bande de potes.
Mais aussi de voir quelques films:

1) *The Escapist*: un film qui a du inspiré grandement X, le scénariste de Prison Break, avec une astucieuse mise en scène parallèle. Un film à voir et à revoir.
2) *Seven*: ah un thriller avec un casting prestigieux: Brad Pitt, Morgan Freeman, et Y. Mythique selon certains, inégal selon moi. Malgré une histoire originale, le film peine à convaincre avec sa fin digne des pires séries B françaises.
3) *J'irai dormir à Hollywood*: Vous le savez déjà je suis fan des émissions du globe-trotter/journaliste/fascinant/génial Antoine de Maximy. En plus il fait ce font je rêve: faire le tour des USA en train Amtrak/car Greyhound pour découvrir l'Amérique Profonde.
Si j"adhère au concept, je ne comprend pas pourquoi le film est sorti dans les salles obscures car j'envisage davantage ce type de programme sur les chaînes de télévision. Avec JDCV, ADM nous propose la formule du *satisfait ou satisfait*. De l'humour, parfois des moments tristes mais toujours avec cette attitude positive inaltérable.
4) *Wall-E": pourquoi les 20 premières minutes du film sont si ennuyantes? Elles ont presque failli me gâcher cet chef d'oeuvre. Piwar Powaa!